Tuesday, October 14, 2008

Réflexions sur la Lecture

D’abord, j’aimerais citer Pomier pour montrer exactement ce que j’ai éprouvé en lisant Monsieur Ferraille : « Il est par ailleurs fréquent que le lecteur de bande dessinée soit bousculé dans ses habitudes de lecture… » (74) Dans mon dernier affiche, j’ai dit que j’ai été choqué et un peu dégouté quand j’ai commencé à lire Monsieur Ferraille mais après je suis habitué. Pour mettre ce sentiment dans le contexte des chapitres dans Pomier, j’ai été « bousculé, » mais j’ai enfin trouvé le bon code pour lire la BD satirique.


La question du rapport entre le texte et l’image d’une BD

Pour la plupart des fois, les deux modes d’expression sont des complètements dans les bandes dessinées ; on ne peut pas comprendre l’un sans l’autre. Mais Pomier a présenté un cas intéressant ou les mots font partie de l’image : la série Philémon de Fred (Fredéric Othon Theodore Aristidès).


L’organisation de la planche, les ellipses et l’espace inter-iconique

Pomier présente deux opinions différentes sur le rôle de l’espace blanc entre les cases de la BD, ou l’espace inter-iconique. Des gens comme Frederik Peeters et Scott McCloud, pensent que l’espace blanc montre le passage d’un temps ou d’un espace à l’autre. Delon eux, l’espace maintient l’élan et la continuité de l’action dans la bande dessinée. Cela peut se voir dans leurs œuvres :
En revanche, il y a des gens, comme Thierry Groensteen, qui n’attribuent aucune importance à l’espace inter-iconique.
J’ai trouvé un site Internet qui explique un peu plus que Pomier l’espace inter-iconique. Il montre que par rapport au temps, l’espace peut représenter une durée fixe, variable, une parenthèse ou la simultanéité. Il y a des exemples pour chacun et beaucoup d’autre information utile pour l’analyse de la BD.
Voir le site.


L’utilisation conventionnelle, décorative, rhétorique, et productrice de la planche

1 comment:

Anonymous said...

Très bonne recherche ! Félicitations !