La question du rapport entre le texte et l’image d’une BD
Pour la plupart des fois, les deux modes d’expression sont des complètements dans les bandes dessinées ; on ne peut pas comprendre l’un sans l’autre. Mais Pomier a présenté un cas intéressant ou les mots font partie de l’image : la série Philémon de Fred (Fredéric Othon Theodore Aristidès).
L’organisation de la planche, les ellipses et l’espace inter-iconique
Pomier présente deux opinions différentes sur le rôle de l’espace blanc entre les cases de la BD, ou l’espace inter-iconique. Des gens comme Frederik Peeters et Scott McCloud, pensent que l’espace blanc montre le passage d’un temps ou d’un espace à l’autre. Delon eux, l’espace maintient l’élan et la continuité de l’action dans la bande dessinée. Cela peut se voir dans leurs œuvres :
En revanche, il y a des gens, comme Thierry Groensteen, qui n’attribuent aucune importance à l’espace inter-iconique.
J’ai trouvé un site Internet qui explique un peu plus que Pomier l’espace inter-iconique. Il montre que par rapport au temps, l’espace peut représenter une durée fixe, variable, une parenthèse ou la simultanéité. Il y a des exemples pour chacun et beaucoup d’autre information utile pour l’analyse de la BD.
Voir le site.
L’utilisation conventionnelle, décorative, rhétorique, et productrice de la planche
1 comment:
Très bonne recherche ! Félicitations !
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